Des alternatives aux pratiques funéraires traditionnelles se développent, pour les cercueils notamment, mais aussi pour les lieux d’inhumation.
L’envie de retour à la nature permet de réduire l’empreinte écologique des funérailles et de trouver une certaine simplicité dans le recueillement.
L’évolution des cimetières traditionnels tend vers des lieux d’inhumation respectueux de l’environnement, sans produits chimiques et peu d’interventions mécaniques dans la gestion et l’entretien du cimetière. Les sépultures sont sans usage de produits chimiques, avec des matériaux naturels pour l’ensemble des fournitures (cercueil, urne…). Une charte d’engagement s’applique pour chaque concession et énonce les règles à respecter.
La faible empreinte écologique, l’ambiance paysagère, la simplicité de l’aménagement des sépultures.
Enfouir une urne biodégradable au pied d’un arbre dans un espace forestier dédié est une alternative au jardin du souvenir et au colombarium dans les cimetières.
La faible empreinte écologique, le lieu de recueillement dans un lieu naturel.
La méthode très douce de transformation du corps en humus constitue une alternative à l’inhumation et à la crémation. Le processus se fait naturellement, sans aucun processus mécanique ou chimique. Sans cercueil, le corps, habillé et enveloppé de matières naturelles, est déposé au creux d’un lit de copeaux de bois.
Ce procédé n’est pas autorisé en France.
La faible empreinte écologique, la simplicité du processus de retour à la terre (le plus naturellement possible).
